Nomade Urbaine est née et a grandi au Maroc. Néanmoins, c'est en France et plus précisément à Arles qu'elle débute véritablement sa carrière d'artiste après un passage à Roubaix, puis à Paris pour y faire ses études.

La toile « Nostalgie » (ci-dessus) a été peinte dans les années 80 alors que Fahima BOUBIA est étudiante en art à Roubaix. On y aperçoit des bribes de souvenirs que l’artiste conserve alors de son Maroc natal.



Le printemps marocain ne ressemble à aucun autre. Il est composé de milles et unes odeurs, mille et unes fleurs qui s’épanouissent sous les rayons du soleil. Ayant moi-même passé plusieurs printemps à Rabat, je trouve le choix des couleurs et des représentations tellement représentatif de ce que nos sens vivent chaque année.

Quand le Bataclan est frappé en 2015, Nomade Urbaine parcourt le quartier touché pour inscrire sur les murs de la ville « Que Dieu bénisse Paris ». La même année, elle peint ces deux toiles ci-contre avec comme inscription « Que Dieu bénisse le Maroc ».



Le Jardin Majorelle de Marrakech est un jardin botanique fascinant créé par l’artiste Jacques Majorelle à partir de 1923. Le jardin à lui seul, pourrait être présenté comme une œuvre d’art. Jacques Majorelle étant lui-même peintre. De nombreux artistes ont tenté de s’approprier ce lieu si particulier. Nome Urbaine nous présente quelques uns de ces éléments à travers deux toiles.



Le rouge et le vert sont les couleurs du Maroc et du drapeau marocain. Dans ces deux toiles qui rendent hommage à son pays natale, Nomade Urbaine réutilise les codes artistiques de la peinture de rue.

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